Arès [fiche terminée]

[ETAT CIVIL]

NOM & PRENOM : Aaron Argos.

AGE : inconnu, au moins plusieurs milliers d’années (apparence 30 ans).

SEXE : mâle.

NATIONALITE : olympien.

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[IDENTITE PUBLIQUE]

NOM DE CODE : Ares.

POUVOIRS :

> Vol Véloce.
> Excalibur.
> Création.

NATURE DES POUVOIRS :

> Vol Véloce : vitesse maximale normale 300 km/h, vitesse maximale en haut altitude mach 3, très grande vitesse de déplacement en combat.

> Excalibur : avec ce pouvoir dans chacun de ses bras, Ares peut porter de terrible attaques pouvant tout trancher, sauf l'adamantium, autant au contact qu’à mi-distance. Chaque attaque peut causer des dégâts collatéraux tragiques, mais on ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs, selon Arès.

FORCE & FAIBLESSE, DON & MALEDICTION :

> Création :

Ceci est à la fois la plus grande force et la plus grande faiblesse d'Arès qui n'a pas choisi Création, elle lui a été imposée par la Source de Vie. Lorsque le dieu de la guerre entame un combat, détruit le moins possible son environnement, concentrant ses coups sur son ennemi, alors la Création le couvre de bienfaits. Elle lui permet de régénérer d'éventuels coups subis en quelques secondes, que ce soit pour la peau, ou les organes internes, et elle affine la précision de ses coups. Elle peut faire la différence entre la défaite et la victoire sur l'ennemi.

Or, Arès est son pire ennemi.

A chaque fois qu'Arès détruit son environnement, que ce soit par plaisir ou pour atteindre un ennemi, tous les coups étant permis pour lui, la Création le rend un peu moins rapide, un peu moins précis. Il en va de même à chaque fois que la fierté, la haine prennent le pas sur sa lucidité, ce qui arrive quand l'ennemi ose le blesser, lui, le dieu de la guerre, celui qui est censé être le combattant ultime. Arès détruit alors toujours plus son environnement, plongeant dans une spirale infernale ne pouvant le conduire qu'à la défaite et la destruction de son avatar. Cela est déjà arrivé, Arès a déjà été vaincu par ses pairs, et même par des demi dieux tels Hercule. Jusqu'à présent, personne n'a jamais pu le raisonner dans sa folie destructrice.

DIEU SERVI : ni dieu, ni maître.

POINTS D'EVOLUTION DE DEPART : 25.
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[DESCRIPTIONS]

PHYSIQUE :

Apparence physique : l’avatar charnel d’Ares, dieu de la guerre, est celle d’un mortel humain. Il s’agit en l’occurrence d’un jeune homme blanc, à la peau cependant assez mate, qui semble avoir environ trente ans, ce qui n’est bien sur pas son âge véritable. Si cela n’a pas toujours été le cas durant sa trop longue existence, on peut dire sans conteste qu’Ares est cette fois l’incarnation de la beauté virile, beau et musclé comme un Dieu grec qu’il est de fait, le coté bisexuel en moins. Certes, ça fait cliché … ce mâle est pourvu de bons biscotos pour se battre au mieux, mais aussi d’un torse taillé en V, son corps étant néanmoins musclé mais sans les excès d’un bodybuildé, parce que sinon ça aurait gêné ses mouvements en combat, certes. Donnant le sentiment d’avoir été coiffé avec un puissant explosif ou suite à un coup de tonnerre, une belle chevelure brune encadre en quelque sorte son visage aux traits divinement virils qui se révèlent trop souvent crispés par la rage de la divinité. Au final, le plus impressionnant chez Ares, c’est son regard d’un bleu marin qui semble promettre le déchaînement des enfers sur terre, des batailles atroces, la mort même.

Ares porte sa combinaison symbiotique au combat, sous une sorte de trench-coat sombre et lui donne un air classe, du moins cet être en est-il persuadé, et qu'il ne porte pas au combat. Il ne semble pas non plus porter en permanence sa tenue symbiotique. Entre deux batailles, il revêt une toge grecque et des sandales helléniques.

PSYCHOLOGIE :

Ares est la divinité de la guerre sous sa forme la plus sauvage, la plus brutale. Poussant les mortels à s’entretuer pour conquérir toujours plus de terre, il prône la violence permanente, un affrontement éternel entre les peuples. Guère subtil, il aime la mort, le chaos, la clameur des batailles, le sang, les larmes, le fer qui s’entrechoque, l’agonie des mourants, le cri triomphal des vainqueurs, le pillage, les tortures … empli de haine, de rage, il ne pense qu’à se battre, qu’à mutiler, qu’à tuer, déteste les faibles, n’accordant une éventuelle clémence qu’à ceux qui se sont battus jusqu’au bout de leurs forces, ce qui est un geste assez rare. Il avait un langage civilisé forcé en présence des autres dieux, avec quelques dérapages occasionnels, et un mode d’expression oral bien plus familier le reste du temps, appréciant alors de jurer comme une charretière, surtout en combat. A ce titre, il aime particulièrement les personnes qui ne s’embarrassent pas de formules de politesse et surtout qui vont droit au but, qu’elles soient olympiennes ou mortelles.

Ca c’est la partie apparente.

En fait, Ares est devenu tout de même un tout petit peu plus subtil que ça. Cette entité guerrière a beaucoup observé Athéna et s’en inspire par moments pour fomenter des guerres planifiées, avec patience et subtilité. Cela lui coûte d’énormes efforts mais il tient le coup, motivé par la perspective de provoquer de terribles carnages, une douce récompense à ses yeux. Tuant alors plus par la plume que par l’épée, on peut dire que cette divinité peut en devenir imprévisible, finalement, surgissant là où on ne l’attend pas forcément, capable d’envoyer ses sujets olympiens régler un problème quand les ennemis se fondant au mythe penseraient qu’Ares foncerait dans ce qui se révélerait être un piège. Néanmoins Ares ne considère pas ses guerriers comme de la chair à canon, du moins les olympiens, évidemment. Pour ce qui est des mortels … la vie humaine demeure pour lui une erreur de la nature, et donc de Zeus. Il déteste l’hypocrisie des peuples, préférant la franchise de batailles plus sauvages les unes que les autres. Bien que semblant chaud de caractère, il n’est pas spécialement attiré par le sexe, et ce depuis toujours, quelque soit son apparence charnelle, trouvant que c’est une perte de temps. Son regard belliqueux a toujours intimidé quasiment toutes les personnes désirant coucher avec lui. Concernant les rares élues ayant eu assez de sang-froid et de désir pour vaincre de tels obstacles, nul doute qu’Ares a alors vu le rapport charnel comme un corps à corps sauvage où là encore, il est un dominateur conquérant.
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[DONNEES PERSONELLES]

HISTOIRE :

Ares est tellement implanté dans l’histoire humaine, qu’on l’appelle ainsi ou Mars, ou d’autres noms, qu’il semble avoir toujours été là, dans le paysage, tel un vilain nuage noir noircissant le tableau, infectant l’esprit humain lui-même. Certains se demandent même si cette entité maléfique n’aurait pas existé avant même l’apparition de Zeus, voire même de ses créateurs, ce qui est une hérésie au premier abord … quant à ses origines donc, doit-on se fier au mythe, aux croyances grecques ? Cela restera un mystère. Ce qui nous intéresse chez Ares, ce n’est pas son apparition pour le moment, c’est son évolution. Ares n’a pas toujours voulu être le meilleur combattant, pendant longtemps, son seul désir a été de participer aux guerres des hommes, quelque soit le camps, allant même jusqu’à se trouver du coté des moins forts, sans doute à cause de l’esprit de défi que cela représentait à ses yeux. Ainsi a-t-il été manipulé plus d’une fois, par les autres dieux qui se moquaient de son caractère aussi franc que naïf, mais aussi par les mortels eux-mêmes. En fait, Ares s’en moquait, du moment le dieu de la guerre vivait comme il l’entendait, dans la joie simple des affrontements, des boucliers brisés.

Par jeu, Zeus le fit oeuvrer avec Eris, la déesse de la discorde, puis en rivalité avec Athena, plus intelligente dans le domaine de la guerre dite civilisée. Bien plus efficace avec l’appuis d’Eris, Ares songea alors à devenir la divinité la plus puissante, optimisant toujours plus ses pouvoirs, gagnant en force après chaque combat. D’abord en compétition féroce avec Athena, il parvint même à s’en faire une complice, formant ainsi un trio détonant. D’abord amusé par cette attitude jugée puérile, Zeus commença alors à s’inquiéter devant la progression inexorable de son supposé fils. Il lui intima alors de prendre du recul par rapport aux activités des mortels, mais Ares refusa cet ordre et tenta de le déjouer en faisant des incursions furtives sur terre. Mal lui en prit, Zeus l’attrapa la main sur l’épée, poue ne pas dire la main dans le sac à cadavres, et le condamna à une damnation éternelle des plus sadiques : l’esprit d’Ares explosa en milliers de fragments qui formèrent autant de vies, lesquelles étaient toutes vouées à mourir par l’épée, que ce soit sur un champs de bataille ou parmi la population civile, sous le joug des conquérants.

Le temps passait, les dieux de l’olympe perdaient peu à peu le goût de manipuler les mortels. Ils finirent par se retirer à tout jamais. Pendant ce temps, Ares continuait à subir le courroux divin, en fait, ce n’était que le début pour lui-même si peu à peu, il reconstitua les fragments de son esprit.

Deux mille ans plus tard, Arès finit par reconstruire son esprit originel, parvenant à influencer certains mortels pour déclencher de terribles guerres, dont les deux plus meurtrières, durant le vingtième siècle de l’ère chrétienne. Le dieu de la guerre assista alors à la montée en puissance de certains mortels, devenant des super héros, super vilains aptes à la défier en personne. Voyant en cela un motif de guerre, Arès parvint à revenir sur la terre en liant la moitié de son esprit à une combinaison symbiotique. De là, son avatar se forma.

Ares était donc de retour. Beaucoup moins irréfléchi que par le passé, Ares aurait agi volontiers en super vilain si les mortels n’avaient pas eu la mauvaise idée de devenir si puissants, beaucoup plus puissants qu’il l’avait envisagé. Alors, le dieu de la guerre fit de son nom un nom de code de méta humain oeuvrant de façon indépendante, et jouant sur son indépendance, sur sa neutralité pour exploiter a la fois les héros et les vilains, jusqu'à nouvel ordre. Quelques mois après son arrivée, survint le Doom’s Day. Se faisant désirer, Arès intervint lors de l’ultime heure de la bataille, au moment ou les protagonistes étaient presque tous épuisés, et il joua un rôle décisif pour repousser l’invasion. Depuis ce jour, il monnaie chèrement ses services, mais sa puissance vaut ses rémunérations, et certains en viennent à se demander s’il ne serait pas vraiment le dieu de la guerre.
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[HORS JEU]

Comment avez vous découvert le forum ? : deuxième compte.^^

Avis, critiques, suggestions ? : en v’là un forum qu’il est bien !

Rebienvenue, seigneur de la Guerre !

Un bien redoutable combattant que voilà, et interessant ! J'aime la limitation des pouvoirs, ça devrait donner quelques petites choses intéressantes en rp !

Je valide à 26 en potentiel de combat, bon jeu !