Jewel, super-vilaine ultra-glamour / Kailea, gosse sans amour devenue adulte.

[ETAT CIVIL]

NOM & PRENOM : DAVIS, Kailea Aileen.

AGE : 21 ans.

SEXE : Féminin.

NATIONALITE : Ecossaise-Américaine.

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[IDENTITE PUBLIQUE]

NOM DE CODE : Jewel.

AFFILIATION : Super-Vilaaaain ! The CC prochainement je pense.

POUVOIRS :

> Alchimie : Transformer chaque partie de son corps, fluide ou tangible, en une gemme, une pierre précieuse. Elle le fait avec une larme, une goutte de sang, de transpiration, un bout d'ongle, un cheveux, etc... Mais seulement si ça provient de son propre corps et que ça a été prélevé moins de dix minutes avant l'action.
> Joaillerie : Modifier la structure de toutes gemmes d'un simple toucher, les faisant changer de forme ou de couleurs, voire de texture. Elle peut par exemple prendre un rubis dans sa main, et le faire doubler de taille tout en le rendant aussi vert qu'une émeraude. Elle peut lier ensemble deux pierres précieuses, en modifiant les molécules, et créer ainsi des objets entièrement en gemme.
> Téléphonie précieuse : Communiquer à travers les gemmes, c'est-à-dire par exemple pouvoir contacter quelqu'un en faisant apparaître son reflet dans un gemme (créée par elle) et lui parler par cet intermédiaire du moment qu'il y a une gemme de chaque côté. Si elle donne un saphir un quelqu'un, et qu'elle a elle aussi un saphir, ça fonctionnera ensuite comme une webcam. Chacun verra le visage de l'autre et pourra communiquer. Le point positif, c'est que la dépense d'énergie est minime pour ça.

NATURE & ORIGINE DES POUVOIRS :

Ses cellules ont muté dès son plus jeune âge, mais sa capacité ne s'est pas manifestée tant qu'elle balançait entre le bien et le mal. Lorsqu'elle eut changer son camp. Si jamais elle hésite de nouveau, elle perdra ses capacités. Ses pouvoirs sont en quelques sortes un moyen de parvenir à ses fins une fois qu'elle s'est fixé un but. Si elle change de camp, abruptement ou après une longue hésitation, ses pouvoirs seront affaiblis d'autant de jours où elle était de l'autre camps.

FAIBLESSES :

> Alchimie : Cette capacité consomme beaucoup d'énergie, et tant que la création durera, elle sera plus affaiblie. Elle ne peut pas choisir non plus en quelle gemme ça va se transformer. Il se peut qu'une goutte de sang devienne une émeraude, ou qu'un cheveux devienne un brin d'or.
> Joaillerie : Cette modification ne peut plus être changée durant les deux jours suivant la modification, et amoindrit son pouvoir durant deux heures après son utilisation. Chaque Gemme ne peut être modifiée que dix fois, et celle qu'elle créé ne peuvent être modifiée que trois fois, consomant deux fois plus d'énergie.
> Téléphonie Précieuse : Cette technique est celle qui lui coûte le moins de pouvoir en soi. Mais si on rajoute l'Alchimie qu'elle doit utiliser, et parfois la Joaillerie pour que ça passe inaperçue, c'est finalement une technique qui l'affaiblit énormément et elle ne l'utilise qu'en cas d'extrême urgence.

POTENTIEL COMBATIF : A Vot' Bon Coeur !

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[DESCRIPTIONS]

PHYSIQUE :

» Lorsque vous me regardez, vous voyez quoi ? Oh, sans doute une gamine pourrie gâtée. Ma longue chevelure couleur dragées, ma peau pâle comme la porcelaine, de la teinte d'une cuisse de nymphe... Oh, et mes nombreux bijoux aussi. Tout ceci peut vous conduire à la conclusion suivante. Mais en regardant bien, vous découvrirez que ça n'est pas totalement vrai. Mon regard d'ébène ne reflète pas l'innocence naïve qu'ont les gamine pourries gâtées. Mon regard est dur. Grave. Il vous transperce jusqu'à la moelle pour y explorer les tréfonds de votre âme. Ils reflètent un étrange tourment. Bien que j'aie toujours eu ce que je voulais, bien que mes formes et mon corps ne reflète que la bonne santé, bien que je n'aie aucune marque de maltraitance... C'est le regard d'une gamine abandonnée. Qui a grandi, qui s'est embellie au milieu d'un famille qui n'était pas la sienne. Le froncement de sourcil qui donne à mon visage un air boudeur absolument délicieux, il est dû à de nombreuses années sans amour, sans affection. Jamais mon petit corps frêle n'a été serré dans des bras affectueux. Jamais je n'ai eu l'occasion d'étirer mes lèvres en un éclat de rire joyeux. Non, mes lèvres fines, de teinte incarnadin, elles ne se sont étirés que pour des sourires forcés. Mais ça ne m'a pas empêché de devenir la délicate jeune femme que je suis aujourd'hui. Pour compenser ce manque d'amour, et alors que je ne mesure même pas un mètre soixante, j'affiche une frivolité enfantine. Des rubans, des robes bouffantes, à froufrous, des sucreries à tout va... Et un petit sourire amusé constamment sur mes lèvres. Mes cheveux, qui me descendent jusqu'au dessous des fesses, sont relevés en deux couettes grâce à des rubans et des petites perles. J'ai souvent une ou deux barrettes pour maintenir coiffées les mèches sur le devant. Le tout en rose, évidemment, pour continuer dans le ton enfantin.

PSYCHOLOGIE :

» On me dit orgueilleuse. Cela je le reconnaît bien volontiers. On me dit aussi obstinée. C'est un fait. Charmeuse également. J'aime plaire voyez-vous. Mais ne comptez pas sur moi pour une relation durable. Je ne suis pas du genre fidèle. Oui, je suis réaliste. Et pas seulement pour ça. Je regarde le monde avec les pieds sur terre. Je ne crois pas que tout le monde ait un bon fond. Je vois tout de suite si la personne est honnête ou pas. Personnellement, je préfère les personnes malhonnêtes. Au moins, elles sont plus ou moins prévisibles. Alors que les personnes honnêtes, on ne s'attend pas au pire avec elles.

Moi, j'oscille entre les deux. Je m'adapte à mon interlocuteur. Enfin, j'oscillais. J'ai finalement penché pour le mal. I love it ! Je suis téméraire par contre. Me jeter dans la gueule du loup ne m'effraie pas. Téméraire et Rebelle. Car j'ai du mal avec les règles. Mais lorsque je fais quelque chose, je suis du genre consciencieuse. En dehors des études -que j'ai abandonnées- je suis plutôt extravertie. On me décrit aussi comme dynamique et originale. C'est vrai. Je n'aime pas l'inactivité -je suis plutôt énergique en sports- et je déteste me conformer aux normes. Je suis très enthousiaste dans la vie. Parfois même trop. Sans doute à cause de mon passé. Mais je suis égoïste. Je ne vais pas aller risquer ma peau ou autre chose pour un inconnu. Bien que je sois impulsive, ça ne m'empêche pas de bien jauger une situation. Je sais quand c'est risqué pour moi. Et lorsque je ne comprend pas quelque chose, je suis du genre curieuse. Une curiosité insatiable sur des sujets qui me passionnent.

Je fais des recherches méthodiques par contre. Il ne faut pas se perdre dans tous les sens ou l'on ne trouvera pas ce que l'on cherche. Je persévère, même si une situation paraît inextricable. Même s'il n'y a que peu d'espoir de réussite. Oh, et on m'a aussi qualifiée de tolérante. Bon, ouais, c'est sûr, j'm'en fiche qu'untel soit noir ou jaune, ou qu'il soit handicapé, ou qu'il soit gothique. En même temps, j'peux difficilement faire autrement étant donné que je suis moi-même une espèce de bizarrerie de la nature. Mais ça ne compense pas le fait que je sois autoritaire. J'aime donner des ordres. Et en général, on m'obéit. C'est pas magnifique ? Oui, il faut de l'audace pour oser donner un ordre à quelqu'un de plus influent que vous, mais tellement drôle ! En dehors de ça, j'aime la solitude. Je tolère mal d'être trop longtemps en groupe. J'aime rester avec moi-même. Et je ne compte que sur moi-même. Je ne risque pas d'être déçue au moins. Pas trop. Et je sais quelles sont mes ambitions, mes capacités. Et je sais que je peux utiliser n'importe quel moyen pour arriver à atteindre mon objectif.

La fin justifie les moyens mes chéris. Et comme je n'aime pas attendre -la patience n'est pas mon fort du tout-, j'utilise souvent des moyens dérivés pour parvenir à mes fins. Je déteste perdre. Mais je suis très joueuse. Et quand je gagne, c'est parce que ma débrouillardise à eu raison de l'adversaire. J'ai également beaucoup d'imagination dans les moyens à utiliser pour n'importe quel but. Mais comme je suis très créative, je n'ai pas que des activités sportives. J'aime écrire, inventer des histoires, etc... Et je sais être très persuasive par moment. Surtout pour faire de mauvais coups. Enfin voilà. Vous me cernez à peu près là, non ?

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[DONNEES PERSONELLES]

HISTOIRE :

» Je suis née, j'ai vécu, et me voilà. Quoi.. ? Oh, il faut développer ? Mince. Bon, alors... Je suis née voilà dix-neuf étés. Un Premier Août exactement, aux alentours de minuit, une heure du matin. Et je suis née en Ecosse. A vrai dire, j'y ai passé les dix premières années de ma vie. Et puis ma mère est morte. Alisha McIshbl était une écossaise pure souche. Elle a épousé John Bingham, un médecin anglais. John était ravi de vivre en Ecosse avec Alisha, mais lorsqu'elle est morte, il a fui. Il a passé un an à voyager à travers le monde. Il m'a placé chez sa soeur, une américaine hautaine et sans coeur. Elle n'avait aucune envie de m'héberger, elle et sa famille était très snob, mais elle avait une dette envers son frère. Et elle accepta par la force des choses. Je fus donc placée chez cette femme, son mari et ses deux fils. Moi qui n'avais que dix ans, qui étais fille unique, je me suis retrouvée avec deux « frères adoptifs » de trois et cinq ans de plus que moi. Je suis tombée dans une famille qui faisait très attention aux apparences. Je n'avais plus d'accolade maternelle affectueuse ou de sourire paternel. Je ne sais même plus à quoi cela ressemble. Ces deux nouveaux frères que j'avais s'amusaient à me piquer des affaires. N'étant pas de nature à me laisser faire, je répliquais en faisant foirer leurs plans douteux. Je les ridiculisais auprès de leurs amis. Et au final, il se trouve que l'on a été forcé de faire équipe, par la force des choses. Une bande de garçon des rues de Liberty-City avait décrété que c'était désormais leurs territoire et que chaque enfant qui passait devait donner un billet pour l'aller et un billet pour le retour. Du racket quoi. Mais bien sûr, ça n'était pas du tout du goût de ces deux énergumènes qui vivaient avec moi. Et comme je n'avais pas non plus envie de filer du fric à des imbéciles.... La conclusion était évidente. Notre alliance temporaire, notre génie et notre ruse nous ont permis de jarter ces imbéciles. Et le scénario s'est répété plusieurs fois ensuite. Pas les racketteurs, mais des alliances. Au final, il se trouve que nous nous entendions bien pour les mauvais coups. Avec mon visage d'ange, j'étais pourtant l'innocence incarnée. Eux-aussi. Ils étaient les parfaits fils de bonne famille. A nous trois, on formait un trio diabolique. A force de mauvais coups, il nous vint l'idée d'une escroquerie.

A cette époque, j'avais seize ans. Avec mes deux complices, on a étendu notre champ d'action aux quartiers avoisinants. J'étais l'appât. Il y avait toujours des pervers qu'une fille mineur excitait. Alors je les attirais, je prenais quelques poses lascives contre eux, je les laissais prendre un peu le contrôle, puis au moment fatidique, je les arrêtais. A ce moment-là, mes cousins arrivaient et tendaient un contrat à l'homme. En échange de leur silence, les hommes devaient payer une somme considérable. Sinon, les photos et vidéos prisent lors des précédents actes allaient atterrir sur le bureau des flics du coin et des journalistes à l'affût du scandale. Grâce à cette technique, on s'est fait un max de fric. J'avais seize ans, mes cousins avaient dix-neuf et vingt-et-un ans. Ce fric, mes cousins l'investirent. Avec mon accord, ils investirent également ma part. On continua ce genre d'escroquerie durant trois ans.

Et malheureusement, nul crime n'est parfait. On fini par ce faire coincer. Mes cousins furent libérés parce que leurs parents ne pouvaient tolérer qu'un scandale les éclaboussent. Mais moi... Moi ils n'en avaient rien à faire. J'étais majeure, ils n'étaient plus tenus de s'occuper de moi. Je fus jugée pour arnaque contre autrui, et pour vols. Le juge décidé qu'un séjour en maison de correction me ferait le plus grand bien. Et mon oncle a accepté directement. Voilà pourquoi j'ai été envoyée dans un centre de correction. Terrible m'as-t-on dit. Absolument affreux. Il y en a qui parle de torture. D'autre d'horreurs multiples. Et bien ça ne m'a fait ni chaud, ni froids. J'ai tiré mes deux ans à faire là-bas.

Après, je suis sortie. J'avais dix-huit ans, mais rien de ce que j'avais vécut dans cette maison de correction, loin de Liberty-City, ne m'avait irrémédiablement changée. Peut-être étais-je intérieurement plus sombre, plus malfaisante. Peut-être est-ce pour ça que la frivolité que je laissais paraître fut redoublée ? Je disais aimer le rose et les robes à volant, les sucettes et les poupées, mais en réalité, je détestais ça. Je jouais juste un rôle. Et mon rôle a pris un nouveau tournant après ma sortie de la maison de correction. J'ai découvert d'étranges capacités. J'étais un peu comme une Super Héroïne. Du mauvais côté. J'ai appris à maîtriser ces pouvoirs, qui avaient toujours été en moi mais qui ne se sont révélés que lorsque j'ai vraiment choisi mon camp, et je me suis faite appeller Jewel. Mes forfaits ? Cambriolages avec violence et/ou meurtres, attentats, et surtout, homicide volontaire et prémédité. Oui, un meurtre préparé soigneusement. Je suis revenue à Liberty-City, j'ai buté mon oncle et ma tante, et j'ai été à l'agence immobilière pour acheter une maison dans ce même quartier où ils vivaient. Jewel a été déclarée coupable, à cause des traces de joyaux que j'avais semé un peu partout dans la maison, mais Kailea, elle, a juste été soupçonnée puis lavée de tout soupçons. Et me voici, me demandant ce que je vais foutre de ma foutue vie.

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[HORS JEU]

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